À Propos de l'artiste
John HAMON, actif depuis 2000, il vit et travaille à Paris mais aussi dans d’autres villes du monde. Puisant son inspiration dans l’art de la rue en passant par les méthodes du graffiti et de l’affichage publicitaire et politique, il construit sa démarche autour de la notion de promotion. En investissant le quotidien par des campagnes d’affichages massives dans les rues et des projections impressionnantes sur des monuments publics et institutions, avec ou sans autorisation, John HAMON se joue des acteurs habituels du monde de l’art. En empruntant les outils de ceux qui cherchent à vendre et de ceux qui cherchent à se faire connaitre, il soutient le débat sur la position de l’artiste dans la cité et questionne le rôle des musées et des institutions, défendant la formule : « C’est la promotion qui fait l’artiste ou le degré 0 de l’art ».
Affichages et expositions (sélection) :
- Exposition pirate, 2020, Centre Pompidou (Paris, France)
- Projection sauvage, 2019, Centre Pompidou (Paris, France)
- Exposition pirate, 2019, Musée du Louvre (Paris, France)
- Exposition piratant la galerie Emmanuel Perrotin, 2018 (Paris, France)
- « J’aurais voulu être un artiste », fresque murale, 2018, invitation du collectif Le Mur XIII (Paris, France)
- Projection sauvage, 2018, Fondation Louis Vuitton lors de la Nuit des Musées et censurée par la direction du lieu (Paris, France)
- Projection sauvage, 2018, Stade Vélodrome (Marseille, France).
- Fresque murale, 2017, invitation de La Gâche (Lyon, France)
- Projections sauvages, 2016, Tour de Pise (Pise, Italie)
- Projections sauvages, 2016, Notre-Dame, Tour Eiffel, Assemblée Nationale, l'Arc de Triomphe, Panthéon, la Bastille, Hôtel des Invalides (Paris, France)
- Exposition pirate, 2014, lors d’Art Basel (Basel, Suisse)
- 2014, Exposition à École des Beaux-Arts (Paris, France)
- Tractage promotionnel, 2003, Fiac (Paris, France)
- Exposition pirate, 2003, Palais de Tokyo lors de l’exposition « Hardcore » (Paris, France)
- Première exposition pirate, 2002, sur le Musée d’art moderne lors de l’exposition de Matthew Barney (Paris, France)
- Première affiche, 2000, devant le Musée d’art moderne (Paris, France)